Maremma

….Con Maremma Pareti si dimostra eccellente compositore…..Tutto il lavoro gode di un magico equilibrio, non abbandona mai un itinerario a metà tra jazz e musica popolare, impreziosito da interventi solisti di gran qualità..Ottimamente registrato, realizzato da un gruppo affiatato e ricco di interventi illuminati.
Sergio Spada, Suono 2007

Si potrebbe quasi parlare di etno jazz se etichettare un disco così non suonasse anzitutto riduttivo per un lavoro ricco di sfumature musicali trasversali. 9 tracce per raccontare in musica paesaggi, gente, storie di melodie. Notevoli i temi, raffinati ma costantemente rivolti all’ascoltatore gli sviluppi e l’interplay, da italico “all star” l’ensemble dove spiccano le collaborazioni di Stefano Bollani e Antonello Salis
Al Top, on line jazz 2007

….Accompagnato da un manipolo di musicisti che guarda caso sono tra i migliori d’Italia, Pareti ha dato vita ad un disco ruvido come la sua terra, ricco di sfumature poetiche, ma attraversato da un’intensa luce jazz.. 

Simone Bardazzi, Audiophile 2007

Le label italien Egea nous réserve ces temps ci quelques belles surprises. L’album présenté ici et réalisé sous le nom du contrebassiste transalpin Raffaello Pareti n’échappe pas à la règle. Album d’une grande fraîcheur à l’allégresse chantante à l’image de Antonello Salis bien connu sous nos contrées et qui avec un malin plaisir, se plaît à chanter les lignes
mélodiques de son instrument. Stefano Bollani semble ici à son élément lui aussi bien connu des services compétents semble ici comme dans son élément, comme on retrouve des amis de longue date….il y a dans cet album profondément ancré à la terre quelque chose de l’expression simple et sincère et avec lui, comme le film d’une vie en miniature, son bagage d’émotions douces

Jean-Marc Gelin, Les dernieres nouvelles du jazz 2007


……On reconnaîtra à Raffaello Pareti, contrebassiste cultivé et talentueux, la qualité des leaders qui savent s’effacer lorsque c’est nécessaire. Il laisse ainsi les deux Stefano, Bollani et Cantini, nous livrer un magnifique dialogue dans Valà Valboni. A l’instar de la Maremma en Toscane, ce disque présente donc une musique aux multiples visages, dansante, chantante, folle parfois et toujours passionnante. Il y a là aussi quelque chose de Coltrane ou d’Hermeto Pascoal qui se mêle aux couleurs de Toscane. Décidément, le jazz italien a une identité marquée et le label Egea sait
la mettre en valeur sans pour autant verser dans une forme de nationalisme ou régionalisme culturel.
Un très beau disque !
Thierry Giard, CultureJazz 2007 

C’est cette terre, dont il est originaire, que le contrebassiste Raffaello Pareti a choisi de célébrer à travers ce disque. On y retrouve donc toute la palette d’émotions qu’une telle région peut faire naître dans le coeur des hommes. La Méditerranée est omniprésente, portée notamment par l’accordéon d’Antonello Salis et la guitare acoustique de Bebo Ferra. Des morceaux incroyablement festifs côtoient des titres plus lents, parfois apaisés, parfois torturés. Le contraste est encore accentué par l’enchevêtrement même de ces pièces si différentes : ainsi, entre "La Danza di Zoe" et "Drost Nià", tous deux très enjoués et révélant tout le talent mélodique du compositeur Pareti, vient se nicher le mélancolique "Missing", dont la sensibilité est encore renforcée par les longues notes tenues du saxophone soprano. Avec Maremma, le label Egea confirme - si c’était encore à prouver - qu’il se situe au premier plan des projets les plus originaux du jazz italien actuel.
                                         Arnaud Stefani, Citizen Jazz 2007


Elegante come l’autore, “Maremma” è il disco della consacrazione per Raffaello (Lello)Pareti,contrabbassista straordinario, maremmano DOC.
Alla sua terra d’origine Pareti dedica un album completo in cui i compagni d’avventura sono scelti con puntiglio e precisione, quasi predestinati a ciò che Pareti chiede da dietro al suo strumento a quattro corde…..“Maremma” richiama concettualmente capolavori come primo Liberation Music Orchestra di Charlie Haden ( un altro contrabbassista, non è un caso) o “ Latino America n.1” di Gato Barbieri; album che parlano della gente e lo fanno solo con le note in cui i leader creano un setting sonoro che esalta il solista.
Disco decisamente italiano - per la scelte delle melodie, delle armonie, dell’idea del jazz - “Maremma” è un lavoro solo apparentemente colto; Pareti, grande autore di melodie ha un debole per quelle lineari, chiare, ben espresse, precise (“Missing”, “Drost Nia“ dalle movenze cinematiche) e indirizza bene l’ensemble verso
scelte che rispettino e coinvolgano gli ascoltatori. “Maremma” è un disco che merita riconoscimenti significativi e rivitalizza termini come etno jazz, alzando metri di valutazione e termini di paragoni a un livello altissimo, il proprio. 

                   Ernesto de Pascale, Il Popolo del Blues 2007 

Some of the most exciting jazz is currently emerging from Italy – and here’s an example. Raffaello Pareti is a bassist who composed all but the first and last tracks on this intriguing CD. He leads a group of highly proficient musicians who are not above talking chances and even playing the fool…… Vala Ralboni! sounds as if it was co-written by Poulenc and Kurt Weill after a heavy drinking session – jovial but slightly dark, with amazing pyrotechnics from the pianist. The melody of Ulisse is stated by the soprano sax over a fluttering background which perhaps suggests the sea that Ulysses travelled across. Whatever this track represents, it is very beautiful…. Drost Nia shows the group at its maddest but also its most technically brilliant….. Again, the daring of the musicians is matched by their technical prowess, making for a thrilling end to a thrilling album
                                        Tony Augarde, Music On The Web